C'est surtout, pour le "croisiériste" qui navigue hors saison cyclonique, un merveilleux endroit, où il trouvera à la fois, le bon abri, bien sûr, mais aussi de quoi marcher ou plutôt crapahuter, car il y a un petit volcan qui domine ce site, une nature sauvage avec plein d'oiseaux et de poissons et même des coyotes qui viennent le soir fouiner sur la plagette
Pour l'ascension du petit volcan, on ne peut pas dire que ce soit franchement facile, même s'il n'est pas très haut.
Il faisait très chaud dans le pierrier conduisant au premier plateau.
Et la fin de l'ascension s'effectuait dans un ensemble de pierres très friables et instables
mêlées à de la pouzzolane qui ne demandait qu'à dégringoler.
Au total, il m'aura fallu quatre heures pour faire l'aller-retour, seul, et sans chômer. A l'arrivée, j'étais à la limite de l'insolation et de la déshydratation (j'ai bu la bagatelle de 3 litres d'eau pour arriver à retrouver mon équilibre).
Mais de là-haut, quel spectacle !
Vers le nord et le volcan Coronado |
Vers l'ouest et la baie de Los Angeles |
Mais c'est surtout du côté même de Puerto San Juan que la vue était saisissante,
à mesure que je m'élevais.
Ah, j'allais oublier ;
dans le sable il y avait plein de succulents coquillages
(facile de remplir un seau de 10 litres en moins de 10 minutes.
Véridique !
Miam miam !
On relativise beaucoup la beauté du Canigou et de Paulilles quand on voit tout ça !! C'est trop beau et ça fait rêver, continue à nous envoyer de si belles photos.
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