Finies mes élucubrations sur mon passage estival en France.
Place à ma vie aux antipodes, sur mon brave Sabay Dii.
Déjà quatre semaines passées à Opua pour préparer le bateau à ses prochaines navigations. Et ce ne fut pas de la tarte. D'abord parce qu'ici, au mois d'octobre, il fait encore froid.
Et maintenant, au boulot.
Place à ma vie aux antipodes, sur mon brave Sabay Dii.
Déjà quatre semaines passées à Opua pour préparer le bateau à ses prochaines navigations. Et ce ne fut pas de la tarte. D'abord parce qu'ici, au mois d'octobre, il fait encore froid.
Le matin, le thermomètre indique 5°C, dans le bateau. Je vous laisse imaginer mes nuits tout emmitouflé, avec mon bonnet enfoncé jusqu'aux oreilles. Et évidemment, dans ces conditions peu favorables, j'ai attrapé la grippe néo zélandaise. Résultat : trois semaines de crève et plus de 10 jours d'extinction de voix. Pas facile dans ces conditions de bosser dur. Mais je n'ai pas pu me défiler car la sortie de l'eau de Sabay Dii était programmée.
Grutage de Sabay Dii |
Ça, c'est l'hélice ! Avec les huîtres. |
Un bon coup de Karcher a été nécessaire pour décrocher les mollusques !
Et maintenant, au boulot.
Le bateau est propre, maintenant, i lne me reste plus qu'à faire la peinture anti-algues.
Comme à mon habitude, j'ai eu du bol, avec des conditions météorologiques exceptionnelles : six jours de beau temps pour six jours sur le terre-plein. Je ne pouvais espérer mieux à cette époque de l'année ou l'on compte tout au mieux un jour sur trois sans pluie.
Aujourd'hui, Sabay Dii a regagné son mouillage, et moi, je recommence à retrouver la santé.
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