Les tribulations d'Olivier, pêcheur-cuistot à ses heures

Arrivé à la croisée des chemins, très très loin de chez lui, Olivier encore sous le coup de 12 heures de décalage horaire et déstabilisé par la chaleur d'un mois de février torride de l'hémisphère sud, semble totalement désorienté. Mais bon sang, où est Sabay Dii ?

Sabay Dii est là, tranquille au mouillage, avec son capitaine qui l'attend..

Sabay Dii encadré de deux autres bateaux à Black Pool, la baie du sud de Wajheke

Après les retrouvailles, le programme est fixé : remontée de la côte est de la Nouvelle Zélande depuis Auckland jusqu'à la baie des Iles dans le nord. Et comme prévu, et comme d'habitude, on pêchera.
Rassuré, serein, l'homme s'allonge dans le cockpit.

On  pourrait croire qu'il se repose. Mais, que les poissons ne s'y trompent pas ! Il est en pleine concentration (remarquez l'index qui prouve qu'il réfléchit, même dans les bras de Morphée).

Quel leurre, quelle type de canne et quel moulinet, de la tresse ou du monofilament ? Et quelle plombée ?

Un frein pas trop serré ...

Et après une longue et intense réflexion, l'homme passe à l'action.

Phase 1 :  la pêche

Phase 2 : la cuisine

 

Pendant ce temps, le capitaine fait ce qu'il a à faire : naviguer, faire avancer le bateau, à la bonne vitesse pour la pêche à la traîne,, puis avec le bon angle de gite pour que les marmites ne se renversent pas.

Bilan de l'après-midi

Encore une étoile de plus attribuée à l'unanimité pour ce Chef qui nous régale