Bienvenu sur le site de Sabay Dii

En laotien, Sabay Dii signifie "bonjour", "salut", "ça va"...
Dans la pratique, cette expression est utilisée chaque fois qu'on est heureux de rencontrer quelqu'un.
Pas étonnant que j'ai baptisé mon bateau "Sabay Dii", non ?

mardi 9 septembre 2014

Neiafu Cruising Hot Spot

Neiafu, la capitale des Vava'u, a tout ce qu'il faut ou presque pour un navigateur venant de loin et voulant se reposer et se ravitailler :
  • de l'eau (abondante, potable mais payante) pour remplir ses réservoirs,
Sabay Dii en train de faire le plein d'eau (merci Sunsail)
  • une station de carburant et de gaz,
  • quelques petites magasins ou l'on peut trouver l'épicerie de base (farine, sucre, huile, lait, quelques conserves, etc.) et des personnes drôlement habillées,

Femme en habit traditionnel de fibres végétales
  • quelques banques et même deux distributeurs automatiques de billets,
Une épicerie-banque
Ajoutons à cela un marché aux légumes relativement bien achalandé (tomates, poivrons, oignons, concombres, carottes, papayes, bananes, ananas, manioc, taro et patates douces).








Le tout à des prix délirants pour celui qui n'a pas compris que tous ces articles ou presque (pas les légumes ni les fruits pourtant très chers) ont parcouru des distances incroyables avant d'être déposés sur un étal.
Bref, on peut refaire quelques provisions avant de rejoindre les Fidji ou la Nouvelle-Zélande où l'on trouvera alors tout ce que l'on souhaite à des tarifs moins surprenants.
A Neiafu, on trouve aussi un bureau de tourisme, centre du monde
quelques cyber-cafés
  une "cathédrale"

et, ici aussi, un nombre sidérant d'églises et d'établissements scolaires religieux.
Mais ce qui fait surtout l'intérêt de Neiafu, c'est sa situation idéale dans un véritable fjord, parfaitement protégé de tous les vents et de toutes les houles. Un vrai "trou à cyclone".
Encore une bonne heure de navigation à suivre les méandre du chenal conduisant à Neiafu
A Neiafu, à part une peinture murale sympathique, ce n'est pas vraiment la joie. Ici, pas de soirées musicales, de danses, de vêtements de couleurs vives, de festivités, de courses de pirogues, etc. Ce sont les cantiques et les chants lithurgiques qui rythment la vie des habitants pour la plupart mormons ou témoins de Jéhovah. Bref, on est très loin de la joie de vivre des Polynésiens. Mais, malgré cela, Neiafu demeure un bon havre pour refaire les pleins du bateau et le plein d'énergie avant d'aller explorer les petites merveilles qui entourent cette cité.



Deux RM l'un à côté de l'autre (le RM1200 Sabay Dii à gauche et le RM 1050 L'étoile à droite)



Bernard ne sait plus où doner de la tête, tellement Didier a rechargé ses batteries







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