Salut à tous
Sabay Dii est de retour à Port Phaéton après une brève escapade dans le sud de Tahiti.
La raison ?
La dengue à bord !
Pas la "peste à bord", heureusement, mais quand même ...
La dengue ce n'est pas très méchant, si ce n'est que cette maladie colportée par les moustiques vous laisse K.O. après 5 à 6 jours de fièvre, maux de tête, courbatures, grosse fatigue, et pas d'appétit.
La moitié de l'équipage est au lit, mais le capitaine reste bon-pied-bon-œil pour continuer à organiser la vie à bord. En dix ans de tropiques, aucun moustique n'est arrivé à lui inoculer la malaria, le chicungugna, le zica et autres dengues. Pas parce que c'est un surhomme. Oh que non, mais simplement, comme le lui faisaient remarquer ses amis laotiens, parce que son sang doit avoir un goût "dégueulasse" qui décourage les plus téméraires et les plus voraces des moustiques, qui après avoir franchi difficilement la barrière de son système pileux et s'être posés sournoisement sur sa peau à la douceur légendaire, redécollent en urgence, écœurés par le goût affreusement faisandée de cette proie apparemment trop facile. Tant pis pour eux et tant mieux pour moi.
Mais que tout le monde se rassure, mon équipière prend son mal en patience en attendant la fin programmée de sa fièvre à lundi, donc très bientôt. Le deuxième départ pour le sud est donc à nouveau au programme, très prochainement.
Le Capitaine secouriste
Sabay Dii est de retour à Port Phaéton après une brève escapade dans le sud de Tahiti.
La raison ?
La dengue à bord !
Pas la "peste à bord", heureusement, mais quand même ...
La dengue ce n'est pas très méchant, si ce n'est que cette maladie colportée par les moustiques vous laisse K.O. après 5 à 6 jours de fièvre, maux de tête, courbatures, grosse fatigue, et pas d'appétit.
La moitié de l'équipage est au lit, mais le capitaine reste bon-pied-bon-œil pour continuer à organiser la vie à bord. En dix ans de tropiques, aucun moustique n'est arrivé à lui inoculer la malaria, le chicungugna, le zica et autres dengues. Pas parce que c'est un surhomme. Oh que non, mais simplement, comme le lui faisaient remarquer ses amis laotiens, parce que son sang doit avoir un goût "dégueulasse" qui décourage les plus téméraires et les plus voraces des moustiques, qui après avoir franchi difficilement la barrière de son système pileux et s'être posés sournoisement sur sa peau à la douceur légendaire, redécollent en urgence, écœurés par le goût affreusement faisandée de cette proie apparemment trop facile. Tant pis pour eux et tant mieux pour moi.
Mais que tout le monde se rassure, mon équipière prend son mal en patience en attendant la fin programmée de sa fièvre à lundi, donc très bientôt. Le deuxième départ pour le sud est donc à nouveau au programme, très prochainement.
Le Capitaine secouriste
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