Bienvenu sur le site de Sabay Dii

En laotien, Sabay Dii signifie "bonjour", "salut", "ça va"...
Dans la pratique, cette expression est utilisée chaque fois qu'on est heureux de rencontrer quelqu'un.
Pas étonnant que j'ai baptisé mon bateau "Sabay Dii", non ?

lundi 30 novembre 2015

Whangaroa

Après les îles Cavalli, Sabay Dii a continué sa route du Far North de la Nouvelle Zélande, avec une étape épatante à Whangaroa.
C'est un endroit tout à fait incroyable.
En arrivant par la mer, difficile d'imaginer ce que l'on va trouver, car on se retrouve face à une côte rocheuse pratiquement sans abri.
Et puis, en s'approchant de plus près, on découvre une petite échancrure.
 Et à mesure qu'on avance, l'horizon s'ouvre sur une gigantesque étendue d'eau
 Un vrai lac intérieur avec des minuscules baies intérieures qui permettent de s'isoler à loisir.
Sabay Dii bien tranquille dans une des petites baies de Whangaroa
Il ne faut pas pousser trop loin l'exploration si l'on a un tirant d'eau important car le fond remonte vite, mais comme c'est de la vase très fluide, aucun risque de casse.
Il y a même une petite marina, mais intéressante uniquement pour les bateaux à moteur toujours à cause du manque de fond.
Et le site a de la gueule, avec son petit téton, le mont St Paul qui surplombe le bassin.
Comme vous vous en doutez, je n'ai pas résisté à l'envie de grimper sur la tête de St Paul pour admirer cet endroit tout à fait remarquable.

 De belles clairières (c'est là que j'ai photographié tant de fleurs), et de belles forêts.
 Mais de la-haut, quel spectacle !
 Moins excitante, la carte qui montre la topographie des lieux

en zoom ...

1 commentaire:

  1. Petit message à Bruno : la Nouvelle Zélande est un bassin de croisière extraordinaire pour ce qui concerne le Nord Est de l'Île Nord. De quoi faire pendant des mois (à la bonne saison qui dure trois mois seulement). Le reste n'est pas adapté à la navigation car constitué soit de plages à surf sans port ni abri pour la côte Es, t soit de falaises tombant à pic dans la redoutable Mer de Tasmanie. Mais à terre, c'est un paradis pour les randonneurs avec des chemins innombrables et très bien entretenus dans des paysages splendides. Les néo-zélandais ne sont pas particulièrement chaleureux comparés à leurs voisins Fidjiens, mais ils sont très aimables, serviables et surtout vivent sans stress à la différence des français toujours tendus et méfiants. Seul ombre au tableau, la cherté de la vie comparable à la Polynésie ou à la Nouvelle Calédonie.

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