Nous disposons sur le bateau d'un téléphone satellite Iridium qui fonctionne aussi en bien en vocal qu'en modem. C'est un moyen de communication très commode mais c'est aussi très cher à l'usage, car nous payons tous les appels entrant et sortant à plus de 1.6 € la minute. C'est donc un outil que nous utilisons avec modération, mais que vous pouvez utiliser, bien sûr, mais à bon escient.
Pour nous joindre par téléphone
Il suffit de composer sur votre téléphone le numéro de téléphone Iridium du bateau que vous devez me demander préalablement par courrier électronique (sabay_dii@yahoo.com).
Pour nous joindre par mel
Dans ce cas plusieurs solutions, qui marchent selon qu'on est en escale ou en pleine mer (ce que vous ne savez pas toujours, évidemment). Si vous voulez joindre n'importe lequel des équipiers du bateau lorsque nous arrivons à une escale, il vous suffit d'utiliser l'adresse suivante : sabay_dii@yahoo.com. Ce courrier pourra être lu par n'importe lequel d'entre nous, donc attention à ce que vous écrivez. Mais vous pouvez aussi, évidemment joindre un équipier particulier, si vous connaissez son adresse électronique personnelle.
En effet, quand nous arrivons à l'étape, nous consultons tous nos boîtes électroniques ; donc nous apprendrons vos nouvelles et ce sera gratuit pour vous comme pour nous. N'hésitez donc pas à utiliser ce moyen très classique. Nous resterons ainsi toujours en contact.
En cas d'urgence, vous pouvez aussi nous joindre, même quand nous sommes en pleine mer, toujours grâce au téléphone Iridium. Là encore deux possibilités, mais avec la contrainte commune de faire des mels courts (160 caractères maxi espaces compris) et sans fichiers attachés.
Pour cela, soit vous utilisez l'adresse suivante : Didmalaf@SkyFile.com et je découvrirai votre message chaque fois que je me connecterai sur l'ordinateur de bord, même en plein milieu de l'Atlantique.
Soit vous allez sur le site Internet d'Iridium dont voici l'adresse : http://messaging.iridium.com/ . Il vous suffit alors d'indiquer notre numéro de téléphone Iridium (voir plus haut comment l'obtenir) et de rédiger votre message. Je serai alors immédiatement prévenu par la sonnerie du téléphone de bord et pourrai prendre connaissance de votre message. Dans ces deux derniers cas, cela ne vous coûtera rien et le prix à ma charge restera très modique. Donc là encore, n'hésitez pas à nous donner de vos nouvelles.
Enfin, il reste la solution "blog" qui consiste à nous mettre des commentaires sur nos articles. Pour cela il est nécessaire de vous inscrire comme membre du blog, dans la petite fenêtre qui se trouve sur la droite du premier message apparaissant dans le blog. Cela nous fera très plaisir de voir que vous suivez notre belle aventure.
En attendant avec impatience de vous lire ...
Didier
Bienvenu sur le site de Sabay Dii
En laotien, Sabay Dii signifie "bonjour", "salut", "ça va"...
Dans la pratique, cette expression est utilisée chaque fois qu'on est heureux de rencontrer quelqu'un.
Pas étonnant que j'ai baptisé mon bateau "Sabay Dii", non ?
Dans la pratique, cette expression est utilisée chaque fois qu'on est heureux de rencontrer quelqu'un.
Pas étonnant que j'ai baptisé mon bateau "Sabay Dii", non ?
mercredi 27 octobre 2010
La pêche à la dorade (version photo)
Jean-Luc dans ses œuvres
Première tentative
Mais la dorade est coriace et ne se laisse pas faire....perdue !
Deuxième tentative
Cette fois, elle est prise !
C'est une belle petite dorade coryphène...
Le menu du jour va donc changer... Bravo Jean-Luc
mardi 26 octobre 2010
La pêche à la dorade (version fable)
Jeanne-Lic et Jean-Luc
Vous connaissez Jean-Luc…
C’est un sacré pêcheur.
Le réveil difficile,
Ce n’est qu’après onze heures
Et au moins trois cafés
Qu’il devient redoutable.
Sa danette sur la table
Pas trop de bonne humeur,
Il choisit bien ses leurres
Prend un dernier café
Puis déroule son fil,
Evitant la « perruque ».
L’horizon, il reluque,
Sa quête est difficile.
Sa patience admirable.
En attendant son heure,
Le monde il refait.
Il vit un pur bonheur.
Connaissez-vous Jeanne-Lic ?
C’est un joli poisson,
Qu’on trouve dans l’Atlantique.
En fait, c’est une fille
Qui est vraiment bien née
On la nomme « dorade ».
Avec ses camarades,
De Méditerranée,
Elle part pour les tropiques,
Et rejoindre les Antilles.
A la bonne saison.
Un voyage magique !
Bien que d’humeur gentille
Il faut bien que Jeanne-Lic
Mange quelques poissons
Pour se « vitaminer ».
Faut pas tomber en rade,
Question de diététique.
Mais pour son grand malheur,
Notre belle Jeanne-Lic
Jean-Luc ne connait point.
Lui, la connait très bien.
Sait toutes les habitudes
Du moindre des poissons.
Voyant passer le leurre,
Elle a d’un coup très faim.
Elle fonce sur l’engin,
Englouti l’hameçon.
Sa défense sera rude
Mais pas de solution.
Car pour son grand malheur.
Elle était le poisson.
Et il est le pêcheur.
Faut se faire une raison.
lundi 25 octobre 2010
18/10/2010 : Le Sud de l'Espagne
Voici quelques photos de nos belles escales au sud de l’Espagne sur la route de Gibraltar :
Alicante, Carthagène et Malaga.
Toutes ces villes ont un très joli patrimoine.
Elle arrivent à le restaurer et à le faire cohabiter avec le moderne, toujours avec goût.
ALICANTE
CARTHAGENE
MALAGA
vendredi 8 octobre 2010
La pêche à la traîne
Certains d'entre vous se demandent si on arrive à pêcher quelque chose.
Réponse de Natacha :
Eh les gars ! Faut arrêter de pêcher car on mange du poisson à tous les repas ! Raz le bol !!!
En fait on pêche des gros maquereaux et des petites bonites (un peu plus gros que des gros maquereaux), quand on est près des côtes :
La coryphène est jaune dans l'eau, puis elle devient bleue avec de belles taches et perd sa couleur en mourant. Que c'est triste !!!
Jean-Luc, qui recherche les très gros poissons, en a rencontré un tellement gros et avec de telles dents qu'il lui a englouti le gros rapala qu'il avait mis comme appât, en coupant le cable en acier qui le tenait, comme si c'était du fil de coton. Ce devait être un très gros et très méchant poisson, mais on n'en a pas vu la queue !
Les autres poissons du même tonneau n'ont qu'à bien se tenir car notre Jean-Luc est en pleine forme. La preuve :
Réponse de Natacha :
Eh les gars ! Faut arrêter de pêcher car on mange du poisson à tous les repas ! Raz le bol !!!
En fait on pêche des gros maquereaux et des petites bonites (un peu plus gros que des gros maquereaux), quand on est près des côtes :
Maquereau
Bonites
Mais dès qu'on part au large, on pêche surtout des petites dorades coryphènes (le must des poissons) que l'on réserve pour les carpacio ou les tartares.La coryphène est jaune dans l'eau, puis elle devient bleue avec de belles taches et perd sa couleur en mourant. Que c'est triste !!!
Jean-Luc, qui recherche les très gros poissons, en a rencontré un tellement gros et avec de telles dents qu'il lui a englouti le gros rapala qu'il avait mis comme appât, en coupant le cable en acier qui le tenait, comme si c'était du fil de coton. Ce devait être un très gros et très méchant poisson, mais on n'en a pas vu la queue !
Les autres poissons du même tonneau n'ont qu'à bien se tenir car notre Jean-Luc est en pleine forme. La preuve :
Ibiza
Comme promis, voici quelques photos d'Ibiza, et de sa capitale Eiviza, à la fois citadelle fortifiée, lieu d'arrivée et de séjour de la majorité des touristes, métropole commerciale, centre administratif de l'île, etc. En tout cas c'est une très belle ville ! Jugez-en par vous-même ...
mardi 5 octobre 2010
Les Baléares, suite et fin
Notre tour des Baléares vient de s'achever par Ibiza et sa petite voisine Formentera :
Ibiza est surtout connue pour ses boîtes de nuits. Mais ce serait dommage de se fier à cette réputation. Cette île superbe nous a enchantés et nous allons prochainement vous envoyer quelques photos de ce coin superbe.
Notre route va maintenant nous mener vers Malaga pour récupérer Marianne, Alain et Gérard, puis vers Gibraltar.
Ibiza est surtout connue pour ses boîtes de nuits. Mais ce serait dommage de se fier à cette réputation. Cette île superbe nous a enchantés et nous allons prochainement vous envoyer quelques photos de ce coin superbe.
Notre route va maintenant nous mener vers Malaga pour récupérer Marianne, Alain et Gérard, puis vers Gibraltar.
Majorque
Bien que moins authentique que Minorque, Majorque nous a réservé quelques belles surprises.
D'abord le joli port de Porto Cristo :
puis la belle plage de Carayol :
et surtout la magnifique crique de la Cala Pi :
où nous étions seuls.
Au cours de cette ballade, la petite cuillère de Didier n'a cessé d'attraper des poissons (4 petites dorades coryphènes et plein de bonites et de maquereaux). De son côté Jean-Luc avec son matériel de pro n'a visé que les très gros poissons. Résultat des courses, c'est Jean-Luc qui a du cuisiner les poissons pêchés par Didier :
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